Les Fines Gueules à Strasbourg
LES FINES GUEULES
Type : Français | Quartier : Grande Île | Prix : €€
En remontant la rue du 22 novembre vous tomberez sur une petite devanture qui a fait peau neuve : Les Fines Gueules, un nouveau bistrot chic au 5 rue Gustave Doré (une petite rue perpendiculaire à celle du 22 nov). Ce remplaçant de l’ancienne Hacienda nous propose du « bonheur à partager » fait maison. Voyons ça !
LES FINES GUEULES
5, RUE GUSTAVE DORÉ
03 88 32 15 54
SITE WEB
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MENU (du 14.10.16 midi)
ENTRÉE/PLAT DU JOUR : 10,50€
LE TEST COMPLET
LE CADRE :
Quand on pousse la porte des Fines Gueules, c’est pour entrer dans un petit local tout en long, le bar directement sur la droite derrière la vitrine. L’accueil est chaleureux et la décoration tendance dans des tons crème, gris et bleu. Comme le veut la mode actuelle, on oriente l’œil sur un nombre important de luminaires design.
À LA CARTE :
Passons à la carte où j’ai pu découvrir la formule « coup de feu » pour le midi : le plat seul est à 10,50€, avec une entrée ou un dessert à 14,50€ et entrée/plat/dessert à 17,50€. Détail peu ordinaire, cette formule est accompagnée d’une bouteille d’une eau italienne plate ou pétillante.
Le choix se restreint à 3 entrées, 3 plats et 3 desserts pour le midi. Un bon point pour la probable qualité des plats et le fait maison. Evidemment, il ne faut pas être trop difficile !
J’ai donc opté pour une formule plat/2 desserts. Oui je crée des formules et oui deux desserts parce que l’assiette de fromage était vraiment tentante. Et puis j’ai pris 2 verres de vins sinon le repas n’est pas complet.
Je décide de m’ouvrir le gosier avec un verre de Riesling de chez Ruhlmann à Dambach. Pour le plat : une joue de bœuf braisé au vin rouge accompagnée de spaetzle maison. Exquis ! Une belle présentation pleine de couleurs, une très bonne sauce et une viande au top. Par contre pour la quantité, faudra repasser !
Plus de quantité par contre pour ma co-testeuse du jour (hello Sophie !) avec un suprême de volaille jaune rôti et sa crème de champignons.
Je me lance ensuite à l’attaque de ce fameux plateau de fromages : Comté, Munster, Saint-nectaire (dans ma tête c’est comme un trio gagnant, un genre de bon tirage du loto). Ils étaient un poil trop jeune pour moi, surtout le Saint-nectaire mais je me suis quand même régalé.
Je finis mon vers de Syrah Grenache qui accompagnait mon plat et mon frometon et on passe au dessert.
Une mousse légère au chocolat praliné. Rien que le nom, ça sonne comme de la poésie à mes oreilles. Non mais dites-le plusieurs fois à haute voix : « une mousse légère au chocolat praliné », « une mousse légère au chocolat praliné », « une mousse légère au chocolat praliné », de quoi mettre de bonne humeur pour la journée.
Evidemment c’est aussi une phrase qui attire la convoitise des femmes, ces êtres voraces en manque de chocolat. J’ai donc dû partager ce merveilleux dessert bien présenté, très léger et trop vite terminé.
VERDICT :
On a aimé :
– La déco
– La formule du midi
– La cuisine
On a moins aimé :
– Un peu étriqué
– Les quantités
Gros coup de coeur pour cette formule du midi, j’en parle par ici http://www.miss-elka.fr/2016/10/26/les-fines-gueules-strasbourg/